L’éco-chèque s’inspire directement du cercle vertueux mis en place par d’autres dispositifs sociaux comme le titre-restaurant, dont le groupe est le leader mondial et digital avec sa solution Ticket Restaurant.
En 2019, en Belgique, les titres éco-chèques sont distribués par plus de 86 000 entreprises, principalement sous forme de cartes, à 1,7 million de salariés pour qui ils représentent un gain de pouvoir d’achat tangible. Les éco-chèques sont utilisables dans un réseau de plus de 10 600 points de ventes en Belgique et permettent d’acheter des produits et services éco-responsables dans des domaines variés allant de l’alimentation au transport en passant par l’habitat et les loisirs.
Arnaud Erulin, Directeur général Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Edenred, déclare :
« Edenred est fier d’avoir contribué, aux côtés de l’ensemble des partenaires sociaux belges, à la création et au déploiement de l’éco-chèque. Le succès de l’éco-chèque témoigne de la pertinence des solutions permettant d’orienter la consommation et de garantir que le pouvoir d’achat accordé aux salariés par les employeurs ou les pouvoirs publics soit effectivement reversé dans l’économie locale et crée de l’emploi. Notre solution "Ticket EcoCheque" offre aujourd’hui une expérience digitale optimale aux entreprises, à leurs salariés ainsi qu’à nos commerçants partenaires. Dix ans après sa création, notre ambition est de continuer à enrichir ce dispositif afin d’inscrire dans la durabilité ce cercle vertueux écologique et économique en Belgique, et explorer sa duplicabilité sur le territoire européen. »
L’éco-chèque, un dispositif innovant pour concilier pouvoir d’achat et responsabilité environnementale
Pour le consommateur :
L’éco-chèque constitue un gain de pouvoir d’achat, pouvant aller jusqu’à 250€ par salarié par an, tout en permettant d’orienter les consommateurs vers des produits et services écologiques.
- De consommateurs à « consommacteurs » : selon une étude menée par l’Université de Hasselt et d’Indiville réalisée à la demande de VIA, la fédération belge des émetteurs de titres repas et d’écochèques, en 2019, plus de la moitié des salariés belges bénéficiant d’éco-chèques déclare accorder plus d’attention à l’environnement au moment de faire leurs achats, quel que soit le moyen de paiement.
- Un impact réel sur les émissions de gaz à effets de serre : Selon une étude menée par CO2logic à la demande de VIA en 2018, les achats réalisés au moyen des titres éco-chèques ont permis d’économiser plus de 229 797 tonnes de CO2 en 2018, soit l’équivalent des émissions de CO2 annuelles de 22 573 Belges. 1€ dépensé en eco-chèque permet de diminuer de 1kg son emission de CO2.
Pour les entreprises :
L’éco-chèque s’intègre pleinement dans la politique de développement durable des entreprises, qui disposent ainsi d’un véritable outil de motivation du personnel, véhiculant une image positive de leur engagement environnemental.
- Un dispositif de motivation abordable et efficace : l’éco-chèque est un dispositif de motivation des salariés 56% moins coûteux pour l’entreprises qu’une indemnité nette du même montant
- Un avantage incontournable sur le marché de l’emploi : Selon le site de recrutement et le média en ligne belge Jobat, l’éco-chèque fait partie des avantages sociaux préférés des salariés belges.
L’éco-chèque, un modèle vertueux pour l’économie domestique et l’emploi local
Permettant d’accéder à des biens et services précis, dans un réseau de commerçants bien défini, les écochèques sont dépensés intégralement en Belgique, dans les circuits économiques officiels et dans un délai relativement court.
- Un soutien significatif à l’économie réelle : selon VIA, 256 millions d’euros d’éco-chèques ont été utilisés en Belgique en 2018.
- Un vecteur de consommation locale : selon VIA, 41% des éco-chèques sont utilisés dans des commerces de proximité et 49% dans les commerces spécialisés.
- Un dispositif plus efficace que le liquide : selon une étude menée par le cabinet de conseil Roland Berger à la demande de VIA en 2017, la consommation intérieure est plus élevée d’environ 50 millions d’euros via les éco-chèques que s’ils étaient remplacés par un montant équivalent net ; cette consommation supplémentaire représente environ 1 300 emplois.